Subventions publiques aux ONG : la fin d’un modèle intouchable ?
Une carte blanche de Quentin Van den Eynde, avocat au barreau de Bruxelles.
Extrait 21 News, article entier dans le lien en bas de page.
Dans un contexte budgétaire des plus difficiles, l’État n’a pas vocation à financer structurellement et indéfiniment des ONG qui seraient incapables de prouver leur pertinence par le biais du soutien citoyen.
L’affaire « Dryade », du nom d’une ONG écologiste flamande, met en lumière une problématique qui transcende les frontières de la Flandre : le modèle économique de certaines ONG, reposant principalement voire exclusivement sur des subsides publics, est de plus en plus remis en question.
Cette contestation s’inscrit dans une tendance globale observée dans les démocraties occidentales, où la pression budgétaire croissante implique une évolution des priorités politiques et redéfinit le rôle et le financement des associations se réclamant de la société civile. La situation soulève une question fondamentale mais pourtant peu abordée : pourquoi certaines ONG vivent-elles presque exclusivement d’aides publiques ? Et est-ce encore justifiable dans le contexte budgétaire que nous vivons ?
La suite sur 21 News : cliquez ICI
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Dans un contexte budgétaire des plus difficiles, l’État n’a pas vocation à financer structurellement et indéfiniment des ONG qui seraient incapables de prouver leur pertinence par le biais du soutien citoyen.
L’affaire « Dryade », du nom d’une ONG écologiste flamande, met en lumière une problématique qui transcende les frontières de la Flandre : le modèle économique de certaines ONG, reposant principalement voire exclusivement sur des subsides publics, est de plus en plus remis en question.
Cette contestation s’inscrit dans une tendance globale observée dans les démocraties occidentales, où la pression budgétaire croissante implique une évolution des priorités politiques et redéfinit le rôle et le financement des associations se réclamant de la société civile. La situation soulève une question fondamentale mais pourtant peu abordée : pourquoi certaines ONG vivent-elles presque exclusivement d’aides publiques ? Et est-ce encore justifiable dans le contexte budgétaire que nous vivons ?
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On peut aisément se poser la question pour certaines ONG telles que Amnesty International qui a malheureusement tourné vers l'extrême gauche!
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