L'extrême gauche et la violence comme argumentaire
Dans une démocratie, les divergences d'opinion sont inévitables. Lors d'un débat organisé par le Centre Jean Gol, un jeune d'extrême gauche a interrompu les échanges en invectivant Georges-Louis Bouchez et Louis Sarkozy. Malgré ces agissements, il s'est vu offrir l'opportunité de s'exprimer. Cependant, sa réponse s'est finalement limitée à un geste obscène à l'encontre du public.
Cette attitude témoigne d'un mépris total du débat démocratique par l'extrême gauche. La violence n'a jamais été une solution. Il convient de féliciter Georges-Louis Bouchez pour son sang-froid et sa volonté de permettre à tous de s'exprimer, même ceux qui ne partagent pas ses idées.
Cette attitude témoigne d'un mépris total du débat démocratique par l'extrême gauche. La violence n'a jamais été une solution. Il convient de féliciter Georges-Louis Bouchez pour son sang-froid et sa volonté de permettre à tous de s'exprimer, même ceux qui ne partagent pas ses idées.
Dans une démocratie, les divergences d'opinion sont inévitables. Lors d'un débat organisé par le @CentreJeanGol, un jeune d'extrême gauche a interrompu les échanges en invectivant @GLBouchez et @napsarkozy. Malgré ces agissements, il s'est vu offrir l'opportunité de s'exprimer.… pic.twitter.com/2sRe6Saj0K
— Alain Schenkels (@Aranjarrett) December 10, 2024







Précision importante, face au comportement déplacé de ce jeune avec qui toute discussion était rendue impossible malgré l'effort de Georges-Louis Bouchez de lui laisser la parole, un autre jeune protestataire a attendu qu'on lui donne le micro pour poser sa question. Il n'a fait aucune vague et a écouté la réponse de Georges-Louis Bouchez tout en répliquant mais calmement et sans insulte. Il faut insister sur le fait que tous les jeunes ne sont pas irrespectueux. L'énergumène repris dans l'article déforce sa position avec une attitude extrême, seul le scandale anime cet individu.
RépondreSupprimerLe fait de la jeunesse est de contester, comme le disait un de mes amis, quand on est jeune on est de gauche, ensuite on vire à droite. L'ULB comme toute université à toujours été un endroit de contestation et de confrontation d'idées, ici ce jeune homme utilise une mauvaise méthode mais sur le fond il partage sa colère. Je ne le condamne pas même si je n'apprécie pas sa méthode.
RépondreSupprimerJe vous suis mais d'autres contestataires ont été bien plus calmes et ont respecté les échanges, sans insulter personne. Ce n'est pas en criant et en insultant qu'on fait avancer le débat. Jeter de l'eau vers le public et lui faire des doigts d'honneur alors même qu'il a pu s'exprimer au micro devant le public est une attitude qui dépasse toute acceptation, ça je le condamne.
Supprimer