2024 à Bruxelles, une moyenne d'une fusillade par semaine

L’insécurité à Bruxelles dépasse toutes les bornes. Certains comités de quartiers crient dans le désert, des citoyens déménagent car ils n’en peuvent plus.

Il y a quelques jours, c’est même le monde économique qui a clamé son désarroi, par l’intermédiaire des CEO d’AXA, d’ING et de Deutsche Bank qui ont écrit aux autorités pour alerter le monde politique d’une dégradation de la sécurité aux alentours de leurs sièges, dans le quartier de la Porte de Namur.

Sans action rapide, le bilan du politique sera catastrophique à Bruxelles : faillite économique, paupérisation, budget hors de contrôle, transports en commun déplorables, région parmi les plus sales d’Europe.

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Commentaires

  1. La présence militaire dans nos rues, comme nous l'avons connue après les attentats, divise le monde politique. Pour ma part, je considère qu'elle contribuerait à rassurer les citoyens et à alléger la charge de travail de la police. En effet, les forces de l'ordre sont confrontées à un manque de respect croissant, tandis que les militaires, grâce à leur formation spécifique, sont mieux préparés à faire face à des situations de crise, telles que les fusillades. La formation rigoureuse des militaires, couplée à l'image d'autorité qu'ils véhiculent, les rend plus aptes à impressionner et à dissuader les potentiels agresseurs.

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    1. L'armée dans nos rues c'est un peu un état de guerre.

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  2. En ce jour de Noël, une nouvelle fusillade. C'est à Molenbeek au parc Bonnevie que des coups de feu ont été tiré sans toutefois faire de victime. Par contre rue de Berchem, la police découvre un homme blessé à l'arme blanche puis un second dans la rue de la Carpe (source BX1). Mais pour certains partis de gauche, tout va dans le meilleur des mondes à Bruxelles, oser prétendre le contraire c'est être taxé d'extrême droite...

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