(...) Solidaris Wallonie, l’une des principales mutualités du pays, vient d’annoncer un plan de départ anticipé pour 137 collaborateurs. Rien d’étonnant en apparence, sauf qu’il s’agit d’un dispositif de chômage avec complément d’entreprise – la fameuse prépension – et que sa mise en œuvre nécessite la reconnaissance officielle du statut d’entreprise en difficulté.
Autrement dit : une mutualité, qui vit des deniers publics, sollicite aujourd’hui un mécanisme prévu pour des entreprises privées en mauvaise posture. Et une question qui brûle les lèvres : comment une institution qui gère l’argent de la sécurité sociale – avec des missions toujours plus nombreuses, certes – peut-elle se retrouver au bord de l’asphyxie ?
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Autrement dit : une mutualité, qui vit des deniers publics, sollicite aujourd’hui un mécanisme prévu pour des entreprises privées en mauvaise posture. Et une question qui brûle les lèvres : comment une institution qui gère l’argent de la sécurité sociale – avec des missions toujours plus nombreuses, certes – peut-elle se retrouver au bord de l’asphyxie ?
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Solidaris demande à être reconnue comme entreprise en difficulté : un aveu d’échec déguisé en « saine gestion » ? https://t.co/S6LGfBngYQ
— 21News (@21NewsBE) April 11, 2025