Pour les observateurs lucides – et ils ils sont rares –, le 7 octobre a signé l’acte de décès de la cause palestinienne. Tahar Ben Jelloun l’a écrit dans Le Point : « Le 7 octobre, la cause palestinienne est morte, assassinée ». Même Bernard-Henri Lévy, pourtant partisan de la solution à deux États, n’y croit plus.
Les intentions d’Emmanuel Macron sont peut-être louables : relancer la solution à deux États, favoriser la reconnaissance d’Israël par ses voisins arabes. Mais, une fois de plus, la méthode tient du bricolage diplomatique. L’État palestinien, bien que reconnu par les deux-tiers des membres de l’ONU, n’existe toujours pas concrètement, et la confiance israélienne a volé en éclats depuis le massacre du 7 octobre. En outre, le timing est douteux : ce serait une prime au terrorisme.
Suite de l'article de Nicolas De Pape dans 21News
Les intentions d’Emmanuel Macron sont peut-être louables : relancer la solution à deux États, favoriser la reconnaissance d’Israël par ses voisins arabes. Mais, une fois de plus, la méthode tient du bricolage diplomatique. L’État palestinien, bien que reconnu par les deux-tiers des membres de l’ONU, n’existe toujours pas concrètement, et la confiance israélienne a volé en éclats depuis le massacre du 7 octobre. En outre, le timing est douteux : ce serait une prime au terrorisme.
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Tahar Ben Jelloun l’a écrit dans Le Point : « Le 7 octobre, la cause palestinienne est morte, assassinée ». Même @BHL Bernard-Henri Lévy, pourtant partisan de la solution à deux États, n’y croit plus.
— Alain Schenkels (@Aranjarrett) April 11, 2025
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